le potager

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samedi 30 mai 2015

test Set de jardinage urbain Fiskars

Lorsque l'on dispose d'une petit jardinet ou d'un balcon pour avoir un coin de verdure, les outils doivent être adaptés à l'espace restreins. 

C'est ce que propose Fiskars avec son set de jardinage urbain. 






Le set de jardinage urbain comprend une griffe de jardin, un déplantoir et un couteau rétractable accompagné d’un étui en tissu pour un rangement propre et facile. Il est particulièrement adapté pour le jardinage minutieux des plantes en pots. Il est peu encombrant, pour faciliter le rangement même dans un petit appartement, il dispose d'une petite pochette pour ranger ses outils. 


Ainsi vous pouvez planter et aérer votre terre avec ces petits outils 
Le déplantoir permet de planter et des planter vos fleurs, petits légumes, aromatiques mais aussi de planter vos bulbes. La griffe elle convient parfaitement pour aérer et ameublir la terre. 

Le couteau lui est idéal pour couper vos fleurs, vos petits fruit et légumes... 


Pour ma part j'ai beaucoup apprécier le déplantoir, je m'en suis servie pour remplir les pot de terreau pour faire les semis. En effet l'outil étant petit cela facilite le remplissage et évite d'en mettre partout. 

Le couteau est très bien, très coupant. Il est très pratique du fait que sa lame soit rétractable et peu facilement se ranger dans une poche. 


Vous trouverez le set en jardinerie ou sur internet pour 24€ ( prix publique indicatif)

test Biogrif leborgne


La biogrif est l'outil en vogue dans les potager. 



La biogrif permet de travailler la terre debout, sans se faire mal au dos. Elle bêche et aère la terre sur cinq à dix centimètres, ce qui préserve la vie microbienne et les insectes. 

Contrairement au bêchage traditionnel qui retourne les sols, la Biogrif décompacte et aère la terre sans la retourner. Elle préserve ainsi l'organisation des différentes couches microbiologiques des sols et respecte l'action bénéfique des micro-organismes qui transforment les matières organiques en éléments nutritifs directement assimilables par les végétaux. 

Facile à utiliser, la Biogrif pénètre verticalement et très profondément dans la terre.  L 'outil s’utilise en enfonçant les dents é dans le sol en appuyant sur la monture de l'outil avec un pied. Il suffit ensuite de tirer en arrière, en gardant le dos bien droit, tout en effectuant des mouvements de gauche à droite pour briser les mottes. 


Avec sa largeur de 50 cm, le travail est rapide et l'effort réparti sur les 2 longs manches diminue la fatigue. 


J'ai appréciée cet outil qui est facile à utiliser, le travail est rapide et on respecte les vers de terre qui ne sont pas détruit comme avec le motoculteur. 

Une astuce : lorsque que vous utilisez le biogrif faite le en reculant cela évite d’écraser la terre que vous venez d'aérer. 






vendredi 29 mai 2015

plants greffés cela vaut il vraiment le coup?

Un article du figaro fait le point sur les plants greffés. Les avantages et les inconvénients, si cela vaut vraiment le coup.

Je vous joint l'article que je trouve intéressant. Puis en lisant cet article une idée m'est venue, faire un comparaison entre plants greffés et non.

Je vais donc acheter un plant greffés et un non de tomate, aubergine ou poivron et comparer les deux.
Je vais comparer la productivité, la croissance et la résistance du plant.

Affaire à suivre du coup ! Mais vous pouvez répondre à la question en laissant un commentaire: Avez déjà acheté des plants greffés, Qu'en pensez vous?  


Inventé en Chine, puis pratiqué par les Grecs et les Romains, le greffage fut longtemps réservé aux végétaux ligneux comme les arbres fruitiers, les rosiers ou la vigne. L'opération consiste à «souder» un jeune rameau (ou greffon) d'une plante sélectionnée pour la beauté de ses fleurs ou pour ses qualités gustatives, à un «porte-greffe». Autrement dit, un plant raciné de la même espèce (comme un parent sauvage) ou d'une espèce botaniquement proche, réputé pour sa vigueur, sa rusticité, sa résistance à certains parasites ou son adaptation à tel type de sol ou de climat. Du 2 en 1, en quelque sorte!
Les avantages sont innombrables. Un exemple parmi d'autres: c'est en greffant nos meilleurs cépages (Cabernet-Sauvignon, Merlot, Pinot noir, Syrah etc.) sur des variétés américaines résistantes au phylloxéra, que le vignoble français fut sauvé des ravages provoqués par ce fléau à la fin du XIXe siècle. Le tout sans recourir au moindre pesticide.

«Fatigue des sols»

Plant de tomate-cerise doublement greffé de Vilmorin portant deux variétés différentes sur un même pied. DR
Dans les années 60, la maîtrise de la greffe dite herbacée, permit d'appliquer cette technique millénaire à des plantes annuelles comme la tomate, l'aubergine, le poivron, le concombre, le melon ou la pastèque. Des légumes d'été qu'il est d'ailleurs grand temps de planter ces jours-ci, maintenant que les fameux Saints de glace -transformés cette année en «saints de chaleur»- sont passés.
Souvent confrontés à un manque de surperficie, les maraîchers professionnels furent les premiers à recourir massivement à ces plants greffés pour au moins deux raisons. D'une part, leurs rendements sont très supérieurs à ceux de la même variété non greffée et, d'autre part, leur résistance aux maladies racinaires (mais pas foliaires: ils restent sensibles au mildiou!) permet de faire revenir la même culture, en particulier la tomate, plusieurs fois au même endroit sans risquer «la fatigue des sols». Ce phénomène extrêmemnt préjudiciable se produit lorsque le retour fréquent d'une espèce végétale sur une parcelle de terrain sélectionne les parasites qui lui sont inféodés au point de ne plus pouvoir la cultiver. De ce point de vue, les plants greffés ont permis d'abandonner le recours à la désinfection chimique -et fort peu écologique- des sols employée jusque-là pour «traiter» le problème.

Canaliser la vigueur du porte-greffe

Et les jardiniers amateurs? Si l'on trouve de plus en plus de plants greffés dans les jardineries, leur prix reste très élevé: de l'ordre de 7,50 euros l'unité soit, en moyenne, cinq fois plus qu'un plant classique! Le jeu en vaut-il la chandelle? «Cela peut être intéressant quand on a un petit jardin ou quand on veut faire pousser des tomates en pot sur un balcon, mais à condition de respecter certaines règles, répond Michel Javoy, expert à la Société nationale d'horticulture de France, partenaire de la rubrique «jardin» du Figaro. Dans le cas de la tomate, il faut impérativement tailler le plant à 2 voire 3 tiges principales au lieu d'une, afin de canaliser la vigueur du porte-greffe, et ne pas forcer sur les engrais azotés. Autrement, on n'obtient que des feuilles et très peu de fruits! En outre, comme on achète moins de plants et que la productivité est supérieure de 20 à 30 % , cela rend la greffe économiquement plus abordable.»

Plants doublement greffés

Greffe de tomate: le greffon est maintenu sur le porte-greffe par une bande en silicone. Crédit photo: Sterling College sous licence Creative commons.
Autre avantage: à l'instar des maraîchers professionnels, la résistance aux maladies racinaires permet, là aussi, de procéder à des rotations très courtes, voire de faire de la monoculture si, par exemple, seule une faible portion du jardin reçoit assez de soleil pour accueillir des plantes héliophiles comme la tomate ou les cucurbitacées.
Dans un tout autre domaine, les plants de melon ou de pastèque greffés augmentent, du fait de leur vigueur, la probabilité de récolter des fruits mûrs dans les régions situées au nord de la Loire où la saison chaude est plus courte que dans le midi de la France.
Signalons pour finir, une innovation intéressante, notamment quand on n'est pas sûr de bien maîtriser l'art de la taille: Vilmorin propose pour la première fois cette année des plants de tomates «Twins» (jumeaux en anglais) doublement greffés avec deux variétés différentes - et donc deux tiges- sur le même pied.

Avez déjà acheté des palnts greffés, Qu'en pensez vous?  

jeudi 28 mai 2015

Les potagers sont des espaces d'échanges

Un article intéressant du figaro que je tiens à vous partager.

Jardinage: « Les potagers sont des espaces d'échanges »


INTERVIEW - Cécile Ratsavong-Deschamps est psychologue et présidente de l' association Médecines, cultures et paysages
LE FIGARO. - Comment l'hortithérapie s'est-elle imposée dans votre parcours?
Cécile RATSAVONG-DESCHAMPS. - Par hasard. Je suis citadine et me suis retrouvée en poste dans une région très rurale, l'Aveyron, à l'hôpital-maison de retraite de Saint-Geniez-d'Olt. Cet environnement a son importance: la plus grande partie de mes patients (atteints de troubles cognitifs, de la maladie d'Alzheimer ou de psychopathologies plus anciennes…) venait du milieu agricole. D'ailleurs, j'avais remarqué que dès qu'ils sortaient à l'air libre, beaucoup regardaient spontanément le ciel pour savoir quelle heure il était. Un patio non aménagé était délaissé au centre des bâtiments. Il m'a semblé que ces patients, retenus dans une unité de soins de longue durée et sans accès direct sur l'extérieur, avaient intérêt à retourner davantage au grand air. Nous avons donc mené une enquête sur leurs besoins, ce qui m'a déjà permis de parler et évoquer leur passé avec certains d'entre eux. Nous avons aussi écouté les soignants, le personnel. De cette investigation est née l'initiative de créer un jardin thérapeutique. Celui-ci, de 800 m2, est actuellement encore en construction, mais nous avons déjà aménagé des carrés potagers au sol, d'autres en hauteur pour les patients qui restent debout, ainsi que des carrés adaptés aux personnes en fauteuil roulant et pouvons déjà constater les bienfaits apportés par un tel aménagement.
Cécile Ratsavong-Deschamps.
Cécile Ratsavong-Deschamps.
Que vous apporte celui-ci dans votre quotidien de psychologue?
D'abord, un changement de cadre très profitable. Cette population, peu familiarisée à la psychologie, serait assez fermée à certains entretiens, alors que là, au milieu du potager, la parole se libère. Le simple fait de sortir et d'aller au jardin en individuel ou en petit groupe crée une relation privilégiée entre eux et moi. Et regarder les fleurs ou les légumes ensemble, écouter les oiseaux, même si nous ne parlons pas, facilite une rencontre thérapeutique. Je peux de mon côté leur poser tout un tas de questions qui m'en apprennent beaucoup sur eux et permettent une inversion des rôles très salutaire. Ainsi, le jardin offre du bien-être aux soignants autant qu'aux patients!
En quoi peut-on dire que le jardin les soigne?
Les potagers sont des espaces d'échanges. Les patients qui se retrouvent avec une pelle ou un arrosoir à la main, joignent plus facilement la parole au geste et se trouvent replongés dans une activité qui redonne du sens à leur existence. Ils discutent entre eux des semis à privilégier, ne sont pas toujours d'accord… Au jardin, tous les sens sont stimulés: l'odorat - ils peuvent reconnaître la menthe du basilic -, l'ouïe - ils écoutent les oiseaux -, la vue, bien sûr - on leur demande quelles plantes ou fleurs ils préfèrent, etc. La mémoire aussi se remet en marche. Ceux qui ont été cultivateurs se retrouvent valorisés. De nombreuses femmes, notamment, qui faisaient pousser des légumes dans l'ombre et étaient peu reconnues, minimisant ce qu'elles avaient accompli dans leur jeunesse, trouvent une réelle source d'estime d'elles-mêmes. On observe une certaine valorisation aussi chez ceux qui découvrent cette activité aujourd'hui. D'ailleurs, ils s'empressent d'offrir aux soignants des paniers de fruits ou légumes qu'ils ont cultivés!
Pensez-vous que de telles initiatives vont se développer?
Hélas, la crédibilité de l'hortithérapie n'est pas gagnée! Nous pouvons montrer que ces outils existent, mais il faut énormément de temps, et de moyens financiers, pour évaluer en chiffres ce qu'ils apportent et qui est bien davantage qu'une simple promenade au jardin. Cependant, l'observation est une première étape, fondatrice, de la science. Nous en sommes là.

Est il nécessaire d'acheter du terreau spécial semis?

Est il nécessaire d'acheter du terreau spécial semis?  C'est un grand OUI

Par soucis d'économie je réalisai mes semis dans un composte. En effet j'en ai pleins le jardin et c'est gratuit. Mais l'année dernière j'ai fait mes semis dans un terreau enrichie et dans mon composte. Et la une différence flagrante entre les plants. Les plants dans le terreau était beaucoup plus grand, gros et beau que ceux dans le composte.

Cette année j'ai donc décider d'acheter du terreau spécial semis de marque d'une jardinerie ( 7€ les 40L) Je ne regrette absolument pas. Mémé si au début j'ai regretter mon achat. Lors de l’ouverture du sac j'ai trouvé des gros morceaux alors que la caractéristique principal du terreau de semis est le fait qu'il doit être fin pour que les petites racines délicates se développent sans encombres. Finalement ces morceaux n'ont pas eu l'air de déranger les semis. C'est la 1er années que mes semis sont si beau.
Plants 2014 sans terreau spécial semis uniquement compost 

plants 2014

plants 2015 dans terreau spécial semis 

plants 2015

Voici des photos qui parlent d'elles même!
De plus avec le terreau spécial semis je n'ai pas eu besoin de rempoter et je rempli les godet qu'a moitié.


Je sais que beaucoup de jardiniers se posent la question, d'ou mon article. J'espère ainsi pouvoir aider.

Bon semis à tous

Top départ pour la saison 2015

C'est parti pour la 4ème années du Potager d'Aurélie.

Pour cette année pas mal de changement.

Le 1er changement est la naissance de ma petite Justine née le 7 avril 2015. Du coup pas toujours facile de concilier vie de maman et potager. Malgré le fait qu'elle m'accompagne au potager ( et oui je l'initie le plus tot possible pour lui transmettre ma passion, déjà bien au chaud dans mon ventre, nous avons fait les semis ensemble :) ). C'est la raison pour laquelle je suis moins présente sur le blog et sur vos blogs. Et également la raison ou cette année je restreint les quantités. ( enfin ça c'est ce que je dit)
Petite puce qui accompagne maman au potager


2ème changement : le potager déménage. Et oui un nouveau terrain de culture cette année, une nouvelle terre, un nouveau système d'arrosage.  On verra bien ce que cela donnera.

Je n'ai pas pu enrichir la terre cet automne, elle a juste était retournée avec le motoculteur. La terre est très très dur comme des pierres. Lors de la plantation je fait donc faire des gros troue que je remplirai de fumier et composte ( pas de terre).



3ème changement : Pour la 1er fois je fait mes semis dans du terreau spécial semis. Les années précédentes je fessait mes semis dans mon composte. Cette année j'ai décidé d'acheter du terreau spécial semis et je suis plutôt satisfaite du résultat. Les plants sont bcp plus beau, plus gros, plus fort.
J'ai pris une marque de jardinerie (Ga...V...). Je retenterai donc l 'expérience  pour l'année prochaine.




4ème changement : l'acquisition d'une " serre" . Serre entre guillemet car il s'agit en réalité d'une caravane vitrée mais elle convient parfaitement pour faire les semis au chaud. Le seul inconvénient est sa position, trop ombragée. Il m'est impossible à la déplacer.

Je suis pas mal en retard au niveau des plantations. En effet les tomates, poivrons, aubergines, courges ne sont pas encore plantés. Il faut que le potager soit grillager mais faute de temps le retard s'accumule. J'aurai donc les 1er récoltes plus tard que d'habitude.

Je vous souhaite à tous une bonne saison potagère, prenez du plaisir !

vendredi 15 mai 2015

Fabrication de vos purins

Les purins sont réputés comme ayant plusieurs vertus.
 La 1er ils sont naturels, ils sont à la fois engrais et répulsifs et ils sont gratuits ( si vous les fabriquez vous même). 


Mais qu'est ce qu'un purin? 



Le terme purin désigne à l'origine les déchets liquides produits par les animaux de la ferme, essentiellement de l'urine. 
Le mot purin désigne aussi des préparations liquides obtenues à base de végétaux, comme l'ortie, la consoude, la prêle, la rhubarbe, le sureau et d'autres. En général, lorsqu'on parle aujourd'hui de purin, c'est à ces purins végétaux qu'on se réfère.

Dans le cadre d'un potager autonome il est très facile de réalisez ces préparations et d’obtenir ainsi votre propre purin. 

Préparation du purin 

Le purin s'obtient par une macération de plantes grossièrement hachées et mises à macérer dans l'eau, de préférence de l'eau de pluie, moins chargée en calcaire que l'eau du robinet. La météo annonce de la pluie ce week end fait vos réserves. 
On utilise généralement 1 kg de plante pour 10 litres d'eau. Surtout n'utilisez pas de récipient métallique, un récipient en plastique est ce qui convient le mieux. 
La macération s'effectue de préférence à l'ombre pour éviter les mauvaises odeurs. Il faudra brasser de temps en temps. La durée diffère selon les plantes, votre purin est prêt lorsqu'il n 'y a plus de mousse après le brassage.  
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purin pas encore prêt à l'emploi

Utilisation du purin

Puis on filtre le liquide obtenu à l'aide d'une passoire que vous utiliserez uniquement pour le purin et on le conserve au frais et à l'obscurité dans un récipient hermétique, en évitant tout récipient métallique. Vous pouvez utilisez les bidons de 5 litres d'eau distillée par exemple. Ne jeter pas le reste des branchage, mettez les sur le tas de compost. 
Vous pouvez utilisez vos purins comme engrais. Un très bon engrais pour les légumes du soleil et l'engrais de consoude ( riche en potasse) et le purin d'ortie riche en azote. Vous pouvez arrosez vous plants a intervalles de deux semaines avec l'un puis l'autre. Vous pouvez utilisez le purin de pissenlit comme stimulateur de croissance
Attention le purin ne doit pas être utilisé pur, il faut le diluer. 1 litre de purin pour 10 Litres d'eau. 

Vous pouvez aussi utiliser vos purins comme répulsif, ou activateur de compost
Le purin d'ortie permet d'éviter les pucerons. 
Pour découvrir d'autre purins, leurs vertus et fabrications, c'est par ici 



Petite précision :  on parle souvent de purin pour des décoctions ou infusions à base de plantes :
Décoction : mettre les plantes à tremper pendant 24 h dans l'eau, puis faire bouillir 15 à 20 minutes, couvrir le temps que la décoction refroidisse. Filtrer, conserver comme un purin.
Infusion : mettre les plantes dans de l'eau bouillante ; laisser infuser 24 heures. Filtrer, conserver comme un purin.


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Cet article participe à l’événement inter-blogs "Un potager autonome" organisé par le blog de Madorre, mon potager biologique. Pour découvrir ce qu'ont écrit les autres blogueurs, cliquez sur ce lien : Voir la liste des articles des autres participants