le potager

le potager

vendredi 27 décembre 2013

Test fourche à bêcher de fiskars








Je ne possédait pas de fourche au potager et lors de mes récolte j'ai bien été embêtée. EN effet comment faire pour récolter carottes et endives sans effort et sans casser leur racines? Il me fallait donc c'est outils.
Je ne regrette pas du tout son achat, bien au contraire il a de nombreux avantage.



Cette fourche Fiskars est conçue pour tous les travaux difficiles de la terre.
Vous pouvez ainsi retourner votre terre et la décompacter, sans déranger les organismes vivant sous votre terre ( vers de terres...)




Vous pouvez aussi vous en servir pour creuser profondément, pour déraciner une plante, enlever une mauvaise herbe, ou encore récolter vos légumes.

J'ai beaucoup apprécié sa praticité lors de mes récoltes. Grâce à son manche assez haut plus de mal au dos. il suffit d’enfoncer les griffes dans la terre, un mouvement de bascule vers le bas avec le manche et hop la monte est sortie il ne reste plus qu'a récolter vos légumes.

Caractéristiques 

Longueur totale : 1,215 m,
. Largeur : 20,5 cm
. Poids : 2160 g

Les point positifs 


  • ça résistance : En effet la partie avec les dents est soudée à même le manche. Par rapport à d'autre bêche qui sont enclavées et fixées pour un clou. Dès lors il n' y pas de risque de casser cette partie lors d'un mouvement de basculement. 
  •  ça poignée ergonomique : facilite son utilisation et son maintient. 
  • son manche coudé et tube en PVC : facilite l'utilisation et offre une meilleur protection 
  • la légereté : la fourche est en aluminium elle est donc très légère. Effectivement j'ai pu la comparer à une fourche classique avec manche en bois. L légereté de la fiskars est incomparable.

Vous pouvez vous la procurez pour une somme entre 25 et 32€ selon les sites. Je trouve le prix très raisonnable pour la qualité du produit. D’autant plus que j'ai pu voir des prix identique pour des marques de grands distributeur. Ne vous privez pas d'avoir du Fiskar, elles sont au même prix.

mardi 24 décembre 2013

Faire sa buche de Noël avec une jacinthe

Voici une idée très sympathique. Fabriquez votre buche décorative. Vous pouvez sollicitez l'aide de vos enfant qui seront ravis de vous aider. Vous pouvez l'utiliser comme centre de table ou bien pour offrir. Cela changera du traditionnel bouquet de fleurs ou de la traditionnelle rose de Noël (poisinta).    

  Pour faire votre buche il vous faut :


- une buche de bois ( du chêne, du pin...) si vous vous chauffer au bois vous n'aurez aucune difficulté pour vous en procurez. Sinon une petite ballade en colline s'impose. Vous trouverez sûrement une petite buche.

-une jacinthe,  si vous la.achetez dans un pot individuel déjà planter cela vous coursera 1e90 environ, sinon si vous vous y prenez assez tôt vous pouvez acheter des bulbes en sac que vous planterais ( cela vous reviendra moins cher )

- une bougie, de la couleur que vous voulez avec ou sans motifs.

- de la mousse, du thym, du lichen, des pommes de pins, des petites branche de chêne.... Pour trouvez tout ce ci allez vous promener dans la colline.  Je trouve cela inutile de tout acheter.
Vous pouvez colorez vos pommes de pins avec de la bombe argenter ou or.

Pour faire la bûche il faut :


1. Faites des entailles avec une tronçonneuse ou une scie


2. Faire sauter les petits bloc de bois avec une marteau et un ciseau



le ciseau


3. Faite le troue pour la bougie avec une mèche spéciale mise à la perceuse. Je vous conseille une mèche plate de 20mm, les bougies vendues dans le commerce ont généralement ce diamètre ou un légèrement plus petit. Si la bougie ne tient pas dans son trou, utilisez de la cire d'une autre bougie pour la fixer. Vous mettez la cire dans le trou puis placez votre bougie.



mèche à bois plate 

4. rabotez la bûche de façon a ce qu'elle puisse tenir droite



Ensuite laissez libre court à votre imagination pour la décorer.

bûche avec le blé et sapin
version blé 
Buche de noel
avec la jacinthe en fleur 

prête à offrir

Le potager d'aurélie vous souhaite un joyeux noel

Bonjour à tous. 

Je vous remercie de me suivre, vous remercie pour vos commentaires, votre participation à mon blog. C'est grâce à vous que mon blog vie. 

Je vous souhaite un très joyeux noel, passez d'agréables fêtes en famille ou entre amis. 

Je vous dit à très vite, en espérant avoir de nouveaux lecteur pour 2014. 

Très belles fêtes de noël à vous tous. 

Aurélie 








mercredi 18 décembre 2013

Avoir un composteur gratuit ou pour une petite somme

Je vous parlai dans cet article comment réaliser son composte à moindre coût. Aujourd’hui je vous dit comment bénéficier d'un composteur à moindre coût.

La mairie de ma commune ( Pays d'aix) met à disposition des familles qui le souhaite des composteurs. Vous pouvez en bénéficier pour 10€. Cela est réalisé dans une politique de réduction des déchets.

Vous pouvez également obtenir un composteur collectif pour mettre au pied de votre immeuble. 

Pour cela rendez vous  sur le site du pays d'aix
Pour ceux faisant partie de Marseille Provence  Métropole c'est ici 

Pour les personnes n'habitant pas Aix en Provence, renseigner vous au prêt de votre mairie. 

Obtenir un composteur individuel

Depuis 2008, plus de 12 200 foyers avaient déjà été équipés en composteurs dans les 34 communes. L’objectif est d’équiper 24% des foyers individuels volontaires.

  • Des bulletins de réservation sont à la disposition des particuliers dans les mairies, dans les journaux municipaux ou sur les sites Internet des communes. Il sont également téléchargeables ici.
  • Dès réception du bulletin, la Communauté du Pays d'Aix enregistre la demande et envoie un courrier précisant les dates et lieux de distribution des composteurs.
  • Un chèque de participation d'un montant de 10 € libellé à l'ordre de la régie du compostage est à renvoyer dans l'enveloppe T jointe au courrier.
  • Le composteur et un bio-seau sont remis sur présentation de la lettre, lors des permanences. Attention ! Aucune remise de chèque n’est acceptée lors de ces permanences.
Lombricompostage
Une opération pilote menée en 2012, proposait des lombricomposteurs aux personnes résidant en appartement ou ne bénéficiant pas d’espace extérieur (maison de ville...).

Obtenir un composteur collectif

A partir de 2012, dans le cadre des actions de son programme local de prévention des déchets signé avec l’Ademe en décembre 2010, la Communauté du Pays d'Aix a élargi le compostage à de nouveaux publics en lançant des opérations pilotes auprès des immeubles, lotissements, cantines et groupes scolaires.
  • Opération pilote compostage collectif en pied d’immeuble ou de quartier

  • Cette initiative menée en partenariat avec les bailleurs et les syndics immobiliers, propose aux habitants en immeuble de bénéficier des avantages du compostage à proximité immédiate de leur domicile. Des composteurs collectifs ou abris de jardin pour le compost, sont installés sur les espaces verts de la résidence, à condition qu'une majorité de résidents y soient favorables. Parmi les résidents volontaires, des personnes sont formées afin d’assurer le suivi et le bon fonctionnement du composteur. Chaque foyer participant à l’opération peut récupérer du compost et l’utiliser pour ses propres besoins (rempotage des plantes d’intérieur, jardinière) et le surplus sur les parterres de la résidence.
    Vous habitez une résidence disposant d'espaces verts et vous souhaitez vous investir dans cette démarche ? Un conseiller prévention compostage de la CPA vous propose un rendez-vous afin d’étudier la faisabilité de votre projet et de vous accompagner dans sa mise en œuvre.
    Contact : collectes.dechets(at)agglo-paysdaix.fr. Tél. : 0 810 00 31 10.
    En 2012, une opération pilote était conduite à Cabriès auprès de 10 foyers résidant en maisons de village.
  • Les collectivités (cantines scolaires, écoles, collèges, lycées…)

  • Une étude de faisabilité sur la mise en place de composteurs dans les cantines scolaires a été réalisée sur les communes de Bouc Bel Air, Vitrolles, Cabriès et Châteauneuf-le-Rouge. Cette expérimentation s’adressait aux communes souhaitant développer un mode de compostage autonome et adapté à la production de cuisines centrales, d’écoles, collèges ou lycée

[ Je veux un potager ] Comment commencer son potager?, préparer sa terre

Bonjour à tous, voici une série d'articles que je vais consacrer à l'élaboration de son potager.

Beaucoup de personnes en rêve : avoir son propre potager. Mais pas toujours facile de se lancer surtout quand on est débutant. Alors pour éviter les faux plans et les arnaques je vous livre mes conseils. Vous trouverez ainsi différents articles qui vous permettrons de faire votre potager pas à pas.



1 er article du jour : Comment préparer sa terre? 



L'hiver est la période idéale pour penser à son futur potager. En effet, c'est la période où nous allons pouvoir préparer la terre et la laisser se reposer jusqu'au printemps, lorsque l'on plantera les 1er légumes.


  1. Choisir son emplacement. 

Pour choisir votre emplacement il vous faut privilégier un endroit bien ensoleillé, voire un peu ombragé par endroit. Avec si possible un point d'eau à proximité. Vous éviterez ainsi d'avoir une longueur de tuyau et de faire des vas et viens sans cesse pour aller ouvrir et fermer l'eau ( c'était mon cas et ce n'est absolument pas pratique, heureusement j'ai pu aménager un second point d'eau )

Une fois l'emplacement choisit il faut le délimiter et choisir sa taille.
Il vaut mieux commencer petit et agrandir par la suite. Prévoyait donc un emplacement ou il est possible de faire un agrandissement.

Pour débuter vous pouvez aussi choisir le solution assez rapide mais plus onéreuse des potager en carré.


       2.  Préparer sa terre 


Si votre terre n'a jamais était cultivé il faudra retourner la terre et la nourrir. Pour cela munissez vous de pioche, pelle, fourche voir de grelinette et d’huile de coude. Retourner votre terre pour bien aérer le sol, décompacter et casser les plus grosse motte. Ce travail est fastidieux mais une fois fait il ne vous faudra plus que faire un entretient. 

Une fois votre terre retournée il faut lui apporter de la nourriture. Pour cela rependez du fumier de cheval ou autre (lapin, poule, mouton, vache). Vous trouverez du fumier en jardinerie mais vous pouvez également vous en procurez gratuitement ou pour une somme modique, en faisant le tour des clubs d'équitations.

IL est important de laissez votre terre se recharger en nutriments pendant l'hiver. IL est essentielle de recouvrir votre terre et de ne pas laisser la terre nue. Protégez-la pour retrouver un sol fertile et facile à travailler au printemps prochain, cela permet aussi de respecter le sol et tout le petit monde qui y vit ( vers de terre, micro-organismes...) Plus votre terre sera vivante meilleur sera sa qualité.

Pour recouvrir la terre utilisez un paillis naturel avec une partie des déchets du jardin. Tontes de gazon, feuilles mortes et même tiges de vivaces broyées pourront composer votre paillis qu’il convient de mettre en place avant que le froid ne s’installe.

Une couche de compost peut également faire l’affaire. Évitez simplement les déchets trop acides, comme les conifères. Dans tous les cas, comptez environ 5 centimètres d’épaisseur pour votre couverture naturelle.


A la fin de l'hiver votre paillis aura disparu et enrichit votre terre. Votre sol sera fertile prêt a recevoir vos plants.

Pendant cette période vous pouvez également préparez votre compost.
Retrouvez des éléments sur ça fabrication dans ces articles : -réaliser son compost à moindre cout, 
Je veux un composteur gratuitement

J'espère que cet article vous sera utile. Je vous souhaite un bon jardinage jusqu'au prochain article.

samedi 14 décembre 2013

L'urine au potager

Le savez vous votre urine est plein de bienfaits pour votre potager.
En effet, vous pouvez utiliser votre urine comme engrais!



Je n'ai personnellement jamais utilisé l'urine comme engrais. Cependant certaines études montrent sont utilité pour votre potager. Avec votre urine vous disposez d'un engrais naturel et gratuit.



Voici les études concernant sont utilisation.

Composée de 95% d’eau, de 2,5% d’urée et de minéraux, de sel, d’hormones et d’enzymes l’urine est un sous-produit du sang aucunement toxique pour la nature. C’est même l’inverse dans la mesure où l’urine d’un adulte en bonne santé contient 11 grammes d’azote (contenu dans l’urée), 1 gramme de phosphore et 2,5 grammes de potassium, c’est-à-dire des nutriments qui permettent… d’augmenter les rendements des cultures 

Cette propriété pour le moins étonnante a été découverte par Patrick Makhosi, chercheur ougandais à la Kawanda Agricultural Research Organisation, qui a observé que l’application chaque semaine d’urine au pied de légumes sur une période minimale de deux mois pouvait permettre de doubler la récolte par rapport à un échantillon témoin.

L’urine peut être aussi utilisée comme activateur de compost.

En plus d’être une alternative « écolo » à l’utilisation d’engrais industriels, l’urine peut enfin avoir un impact positif sur la consommation d’eau. Les Français vont en effet aux toilettes quatre fois par jour en moyenne pour uriner, or une chasse d’eau « standard » utilise 9 litres d’eau. Multiplié par le nombre de nos concitoyens, la pause-pipi représente chaque jour plus de 2,2 milliards de litres d’eau potable (!) Il est donc grand temps de changer ses habitudes et de passer au jardinage au naturel.

En fin, l'utilisation de l'urine comme engrais permet d’économiser de l'argent, des combustibles fossiles (largement utilisés dans la production d'engrais chimiques) et de l'eau (pas besoin de rincer!). Elle réduit également la pollution des rivières - l'urine est une source d'azote importante qui contribue à l'eutrophisation du fleuve si la dénitrification n'est pas utilisée dans l'usine de traitement des eaux. Et ce n'est pas un recul, même la technologie spatiale l’utilise- la NASA a utilisé l'urine dans les systèmes de culture hydroponiques!

Comment bien récolter votre urine 

•    Isolez-la. La règle d'or est de séparer l’urine des autres déchets corporels. L'urine est propre et doit être conservée telle quelle. Faites pipi dans une bouteille, ou investissez dans un séparateur d’urine pour les toilettes.

•    Utilisez-la lorsqu’elle est fraîche. Nous connaissons tous l’odeur de l’urine après plusieurs heures. Elle provient de l'ammoniac, qui est fabriqué à partir de l'azote. Plus votre urine sentira, moins elle sera nutritive pour vos plantes, et moins il sera agréable de vous en servir. Surtout celle-ci doit être versée dans les vingt-quatre heures qui suivent sa production (NDLR : post-miction pour les puristes), sous peine d’en perdre les bénéfices nutritionnels.

•    Toujours diluer. L’urine est trop fort pour être utilisée directement sur les plantes. Diluer à au moins 5:1, et il même jusqu'à 10:1 pour les plantes plus tendres et les graines.

•    Arrosez les racines. Lors de l'arrosage, essayez de ne pas éclabousser les feuilles, mais versez l’urine à la racine. Cela permet d'économiser sur l'évaporation, et les feuilles sèches sont beaucoup plus résistantes à la maladie.

•    Bien répartir. L’urine peut être salée, et en utiliser trop au même endroit peut nuire aux plantes. Utilisez-la dans votre jardin afin de ne pas risquer la surdose, et ne l’utilisez pas sur la même plante à chaque fois.

•    Nourrissez les plantes qui ont faim. Les plantes qui profiteront le plus de l'urine sont celles avec des besoins en azote les plus élevés. Essayez-la sur les légumes à feuilles comme les choux et les choux-fleurs, le maïs, ou toute autre plante ayant besoin d’une petite cure.


 Qu'en pensez vous, avez vous déjà utilisez l'urine au potager?
Moi je doute de son efficacité Biologique. En effet, si l'on ne mange pas bien, que l'on prend des antibiotiques... cela ce retrouve dans notre urine, si on l'utilise comme engrais cela revient à utiliser un engrais "chimique". Vous en pensez quoi?

jeudi 5 décembre 2013

recette chutney de tomates vertes

La saison potagère arrive à sa fin.
Or vos plants de tomates sont encore bien garnis, mais celles ci sont vertes et vous ne savez pas quoi en faire.

Surtout ne les jetez pas! Faites en un chutney se sera parfait pour accompagner votre foi gras pour les fêtes de fin d'année.

Voici la recette : 


Ingrédients :


1 kg de tomate verte
250 grammes de sucre
2 bonnes cs de miel
2 oignons ( blanc)
2 échalotes
1 gousse d'ail
1 cuillère à soupe de piment( tabasco ou autre)
4 glous de girofle
1 cc de curry,
1 cc de paprika
2cc de moutarde à l'ancienne
50 g de gingembre ( de préférence en racine, frais)
1 cc de sel
250 g de vinaigre ( 100 de vinaigre d'alcool, 150 de balsamique)


Étapes: 


Coupez vos tomates en tranche, ( si vous avez des tomates cerises inutile de les couper),

coupez des carrés de gingembre,

coupez les oignons et les échalotes en tranches, ainsi que l'ail.




Faites revenir dans de l'huile ( olive) vos oignons, échalotes et ail. Quand cela commence à dorer ajoutez vos épices ( curry, paprika). Retirez votre préparation et réservez.

Dans la même casserole rajoutez votre sucre avec un peu d'eau. Faite fondre le sucre et attendre que celui ci commence à caraméliser ( lorsque le sucre commence à bouillir, c'est bon)

Déglacez votre sucre avec le vinaigre et la moutarde, ajoutez vos oignons, clous de girofle, piment, gingembre, sel,miel, et tomates.

Laissez cuire jusqu'à ce que le mélange réduise et commence à confire.

Conservation du chutney


Ébouillantez vos récipients, remplissaient les  au maximum. Fermez vos bocaux puis  les disposer à l'envers, couvercle en bas. Laissez ainsi pendant toute une journée. Vos bocaux seront ainsi stérilisés.

Vous pouvez déguster votre chutney avec du fromage, fois gras...
Avec du chèvre c'est un vrai régal. Avec le foi gras c'est une bonne alternative à la traditionnelle confiture de figue. Vous épaterez vos convives avec cette recette,et les surprendraient d'avoir utilisé des tomates vertes.
  • 1 kg de tomates vertes
  • 250 g de sucre
  • 2 oignons
  • 1 gousse d’ail
  • 250 ml de vinaigre (balsamique, cidre)
  • 1 morceau de gingembre frais (environ 50 g)
  • 3 clous de girofle
  • Piments (variété et quantité selon les goûts)
  • 1 cuiller à café de graines de fenouil
  • 5 grains de poivre noir
  • Environ 5 g de sel
Réalisation
  • Couper les tomates, les oignons, l’ail et le gingembre en cubes
  • Hacher le(s) piment(s) très finement après l’(es) avoir épépiné
  • Dans une grande marmite, verser le sel, le sucre et le vinaigre. Porter à ébullition et remuer jusqu’à ce que le sucre soit complètement dissout.
  • Ajouter l’ensemble des légumes et des épices
  • Laisser cuire environ 30 minutes. Le mélange doit frémir sans bouillir.
  • Verser le chutney bouillant dans des pots à confiture préalablement stérilisés.
Une telle préparation peut se garder plusieurs mois. Consommer avec des viandes, du fois gras ou encore du fromage de chèvre.
- See more at: http://tousaupotager.fr/chutney-de-tomates-vertes/#sthash.jfE4GKw9.dpuf
  • 1 kg de tomates vertes
  • 250 g de sucre
  • 2 oignons
  • 1 gousse d’ail
  • 250 ml de vinaigre (balsamique, cidre)
  • 1 morceau de gingembre frais (environ 50 g)
  • 3 clous de girofle
  • Piments (variété et quantité selon les goûts)
  • 1 cuiller à café de graines de fenouil
  • 5 grains de poivre noir
  • Environ 5 g de sel
Réalisation
  • Couper les tomates, les oignons, l’ail et le gingembre en cubes
  • Hacher le(s) piment(s) très finement après l’(es) avoir épépiné
  • Dans une grande marmite, verser le sel, le sucre et le vinaigre. Porter à ébullition et remuer jusqu’à ce que le sucre soit complètement dissout.
  • Ajouter l’ensemble des légumes et des épices
  • Laisser cuire environ 30 minutes. Le mélange doit frémir sans bouillir.
  • Verser le chutney bouillant dans des pots à confiture préalablement stérilisés.
Une telle préparation peut se garder plusieurs mois. Consommer avec des viandes, du fois gras ou encore du fromage de chèvre.
- See more at: http://tousaupotager.fr/chutney-de-tomates-vertes/#sthash.jfE4GKw9.dpuf

mardi 26 novembre 2013

la culture des endives

Salade d'hiver par excellence, la culture de l'endive se fait en plusieurs  étapes. Celle ci est très intéressante elle étonnera petit et grand. La cultiver peut être un bon moyen de la faire connaître à vos enfants, petits-enfants.

L'endive encore appelée chicon (dans le nord de la France et en Belgique )est une plante bisannuelle. Elle est cultivée par forçage.


C'est la 1er année que je la cultive au potager et je trouve sa culture facile, même si celle ci est très longue. En effet, il faut beaucoup de mois entre le semis et la récolte. Environ 7 mois avant de pouvoir déguster ces endives.

  • Comment semer les endives?


Les endives se sèment  à partir du mois de mai. Elles ne sont pas exigeantes sur la nature du sol mais elles préfèrent tout de même un sol profond, elles pourront ainsi développer de longues racines. ( cela est important car c'est à partir des racines qu'on obtient les endives).

Une petite astuce pour que les graines lèvent bien : vous pouvez les mélanger à du sable ( comme pour les carottes). Moi je prépare ma terre et j'y incorpore du sable, je sème puis recouvre avec du sable et de la terre.

semis d'endives 


Espacez les semis de 25cm, puis éclaircir à environ 15/20 cm lorsque les 1er feuilles apparaissent.

  • La période  de repos 

J'appelle cela la période de repos car c'est la période où on laisse les endives pousser tranquillement. On ne fait rien à part  des arrosages et désherbages au début lorsque les feuilles sont encore petites.

Pendant cette période, les endives vont produire de longues feuilles de couleur verte. Celles ci ne sont pas consommables, elles sont vraiment trop amères.

le feuillage des endives



Cette période dure tout l'été et jusqu' à la récolte qui aura lieu début octobre.
  •  La récolte des endives  


Aux mois d'octobre/ novembre, arrachez vos endives que vous avez semées en mai.
Pour cela munissez vous d'un bêche. Faites attention les racines peuvent être longues ( les miennes ont atteint au maximum 30 cm ).

Une fois vos racines arrachées, laissez les sécher 2/3 jours au soleil.

les racines d'endives


Ensuite égalisez les racines pour qu'elles aient à peu près la même taille et pour qu'elles soient à hauteur du récipient dans lequel vous les mettrez ensuite.

préparation des racines


coupez aussi les feuilles  à 1 ou 2 cm de la racine.

  • Le forçage


Pour moi cela constitue la 2eme étape de leur culture.

Choisissez une caisse, un sceau, bref un récipient de votre choix, de préférence noir ( mais tout autre peut faire l'affaire)

Disposez vos racines ( que vous avez préalablement égalisées et coupées à la taille du récipient) dans le sceau, les unes contre les autres, puis recouvrez de terreau, composte.
Arrosez afin que la terre soit humide. Attention, la terre doit être humide mais pas trop, sinon il y a un risque de pourrissement des racines et adieu votre récolte. Pour ma part, je n'ai arrosé qu'une fois au moment du forçage. 

Si vous avez acheté des graines où il y a la mention "sans couverture de terre", vous ne recouvrez pas les racines complètement mais vous laissez les racines sortir de terre. En revanche, s'il n'y a pas cette mention, vous devrez recouvrir vos racines entièrement.
les racines avec le feuillage coupé et installé dans le sceau



Placez votre sceau dans un endroit frais ( 15/20°) , comme une cave, un garage, une cabane de jardin....
Si votre récipient est noir et avec un couvercle, vous n'avez plus rien à faire. si ce n'est pas le cas déposez un carton sur votre récipient. Cela est très important pour avoir de belles endives, il faut de l'obscurité.

Vous n'avez plus qu'à patienter que les endives poussent de leur racines.

3 semaines plus tard, les 1er feuilles d'endives commencent à sortir
Pour finir, deux astuces. Une fois que vous avez récolté vos endives ne jetez pas vos racines, celles ci reproduiront d'autres endives mais plus petites.
Si vous avez beaucoup de racines, échelonnez les forçages pour faire durer la récolte.

J'espère avoir été la plus claire possible, n'hésitez pas si vous avez des questions.
Et vous comment faites vous pour leur culture?


Après une belle récolte d'endive durant l'hiver, celle ci continue toujours de produire et nous sommes début avril. Les endives sont plus petites mais tout aussi bonne. Elles n'étaient pas trop amers juste ce qu'il faut.





  


mardi 29 octobre 2013

test de la Tarière Fiskars Quikdrill

Vous avez sans doute déjà utilisé une tarière mais celle ci à une spécificité par rapport au tarière classique.
En effet au contraire du système traditionnel de spirale, les tarières QuikDrill possèdent un système unique à deux lames trempées et aiguisées. En plus du gain de poids, ce design permet non seulement de traverser facilement l’herbe épaisse pour commencer à creuser, mais permet également d’éviter que l’outil ne se bloque dans le sol (entre les pierres) et au fur et à mesure de la progression de l’outil.Elle est composée d'un système unique de lames interchangeables pour s’adapter au travail à effectuer.
3 tailles disponibles: diamètre 10, 15 et 20 cm.

Elle peut être utilisée pour  l'aération et la fertilisation du sol (en creusant autour), pour le maintien de l'humidité en profondeur dans le sol et pour l'installation de poteaux, clôtures, boîtes à lettres et piquets pour supporter les jeunes pousses.Grâce à son système à deux lames, celle-ci simplifiera de nombreux travaux de jardinage: plantation d’arbustes, d’arbres et de haies, tuteurage, aération du sol ou du compost...

Un des problèmes récurrent pour moi, c'est le mal de dos. En effet quand on est une femme il n'est pas toujours facile de prendre sa pioche ( bien trop lourde pour moi) et de faire des trous pour nos plantation. Il faut demander de l'aide à nos hommes et on est dépendante. Alors la tarière est l'outil idéal. Grâce à sa hauteur plus de mal de dos, on tourne le manche en gardant le dos bien droit. On fait nous même nos troue sans rien demander a personne.



Les différentes tailles de lames
Tarière 15 cm - Fiskars 
 
 
 

ce que j'ai apprécié,
  •  les graduation tous les  cm, ainsi on sait la profondeur du trou,
  • les lames interchangeables on peut ainsi choisir le diamètre du trou, 
  • clé Allen fournie pour changer les lames
  • la facilité d'utilisation 
  • l'usage multiples 
Et vous avez vous déja utilisé ce type de produit? 

lundi 7 octobre 2013

Bouturer le pépino

Le pépino ou poire melon  Morelle de Wallis (Solanum Muricatum) est une plante vivace de la famille des Solanacées très populaire aux Îles Canaries et à Madère ainsi qu'en Australie et Nouvelle-Zélande.
Il est originaire d'Amérique du Sud où sa culture était largement répandue avant la colonisation espagnole dans les vallées andines sous le nom Quechua Q'achan.

C'est un petit arbuste pouvant atteindre 2 m de haut qui ressemble à une vigne de tomates. Ses fleurs sont violettes ( ressemblent à celles des aubergines) et donnent de nombreux fruits jaune pâle striés de rayures pourpres. Les fruits peuvent atteindre un poids d'1 Kg, et contiennent des graines de la grosseur d'une tête d'épingle.

Le pepino a un goût semblable à un concombre et au melon cantaloup. Il a une chair très juteuse. Il peut être mangé cru en enlevant la peau ou en salade, ou pressé en jus. Le pepino peut se conserver pendant quelques semaines.

Bien qu'étant une plante vivace, le pepino est souvent cultivé comme une plante annuelle. On procède souvent au haubanage des rameaux pour supporter le poids des fruits. Il craint le gel mais se cultive facilement sous serre ou en pot. Il se reproduit aisément par bouturage ou par semis à partir d'un petit buisson.


Pour faire des boutures rien de plus simple. 

1. Couper une petite branche de pépino, celle qui se trouve à l'angle d'une grande branche, un peu comme les gourmands des tomates. 




2. Placez les boutures dans de l'eau et attendre que des racines arrivent. 



3. Une fois l'apparition des racines planter les boutures dans des pôts. Elles y resterons jusqu'au printemps suivant. Pour ma part je met au fond de la bouteille du fumier puis je mélange terreau et composte. 



4. Il n'y a plus qu'à la laisser passer l'hiver tranquillement avant sa mise en place au printemps. 

Et vous comme procédez vous? a bientôt a tous

mardi 24 septembre 2013

Produits Bio Low cost peut on faire confiance à ces poduits?

http://www.olivierdauvers.fr/wp-content/uploads/2010/05/AuchanBio.jpg
Le bio à mois d'1€ qu'en pensez vous?,




Suite à une émission que j'ai vu sur les produits Bio Low cost, ceux de grande distribution, j'ai eu envie de consacrer un article sur ce blog.

D'ailleurs n'hésite pas à répondre au sondage, sur la page d'accueil en haut à droite : peut on faire confiance aux produits Bio Low cost?


Jadis cantonnés aux enseignes spécialisées, les produits bio sont aujourd'hui présents partout dans les rayons des grandes surfaces.  Les puristes du bio, dénoncent le développement de produits low-cost, vendus à des prix abordables et garantis sans pesticides mais conçus sur le modèle de l'agriculture intensive.

« Pour proposer des fruits et légumes bio pas chers, la grande distribution se fournit notamment en produits importés qui ont voyagé d'un hémisphère à l'autre et ont été conçus dans des pays où la main-d'œuvre est bon marché, souligne Thierry Filippi, créateur de la gamme écologique la Haie gourmande. Mais il y a une différence entre un légume bio qui a poussé en plein champ à la bonne saison et une tomate grappe bio vendue toute l'année en rayon et qui a été fabriquée sous serre en Espagne. »
Superviseur du salon Marjolaine, Guy Kastler estime que les hypermarchés surfent sur le succès du bio mais en appliquant les mêmes méthodes que pour des produits classiques : « Pour la grande distribution, le bio est devenu une marchandise comme une autre et ils exigent des produits standardisés, qui se conservent longtemps et qui sont disponibles en grande quantité, ce qui est contraire au principe de l'agriculture biologique. »


Spécialiste du secteur depuis vingt-cinq ans, l'enseigne Biocoop, qui regroupe 324 magasins, dénonce elle aussi le développement de produits « industrialisés ». « Quand le prix bas devient la priorité, on finit par vendre des carottes bio qui ont été conçues de manière intensive sous des serres chauffées, souligne la porte-parole du réseau Biocoop, Chloé de la Simone. Nous, le bio, on le conçoit plutôt de la fourche à la fourchette. » « Les pionniers du bio, attachés aux qualités gustatives des produits, au respect de la terre et du commerce équitable, ne peuvent pas s'y retrouver quand on leur propose des tomates bio qui n'ont pas poussé dans la terre mais hors sol sous des bâches en plastique en janvier », fulmine Markus Zeiher, spécialiste des paniers de produits bio vendus sous la marque le Campanier
Alors que le chiffre d'affaires du secteur a progressé de 400 millions à 3 milliards d'euros et que la France est contrainte d'importer 38% de produits écologiques, les puristes se sentent « dépassés » par cette explosion de la demande et craignent que le label bio ne perde son âme. « Le développement de produits standardisés est encouragé par l'Europe dont le label bio est beaucoup moins contraignant qu'avant, notamment en ce qui concerne la présence d'OGM ou de pesticides, souligne Guy Kastler. Du coup, les vrais amateurs préfèrent aujourd'hui acheter directement aux paysans que de faire confiance à une étiquette dont beaucoup finissent par douter. »

ComparateurLeaderPrice
la grande distribution se dispute le marché du BIO


Pour ma part, je doutais des produits BIO en Hyper marché ( on connaît tous la Pub d'intermache ou leclerc avec leur produits BIO). Quand j'achète du BIO je préfère l'acheter en magasin spécialisé plutôt que d'acheter en grande distribution. Comme quoi mon inquiétude se confirme.

Comment peut on proposer des produits BIO ( réellement bio) et de bonne qualité à moins de 1€? Cela me laisse sceptique. Et laisse entrevoir une production, "bio" de masse.


Dans cette émission il était question des œufs BIO. Vous avez du voir dans les hyper marchés, la gamme BIO des marques distributeurs ( carrefour, casino, inter-marché....) défiance toute concurrence au niveau du BIO.








Bio discount



Mais sont ils tout autant BIO que ceux des grandes marque? et ben non.
Les agriculteurs BIO discount n'ont rien à voir avec les agriculteurs BIO classique.
Les agriculteurs  BIO classique n'utilisent certes pas de produits chimique, mais l'élevage est toujours celui de masse, l'élevage intensif. Les poules sont dans des hagards soumis à 12 h de lumière artificielles par jour. On est loin de l'idée du BIO que je me faisait.

Moi qui pensait que c'était comme dans la publicité ou les poules cours et picore dans les champs, en pleine nature. C'est l'opposé total, ces poules sont dépendantes des machines qui les nourrissent ( exclusivement du grains BIO, mais la provenance est parfois douteuse) et ne se donnent pas la peine d'aller picorer dans les champs.

Bref un conseil, si vous voulez du BIO achetez du BIO de grande marque et non pas du discount car vous risquez d'être déçue.

Je vous laisse vous faire une idée par vous même, voici la vidéo, le reportage sur les oeufs BIO low cost commence au niveau de 39min40


J'attends vos commentaires avec impatience, dites moi ce que vous en penser, pour créer une sorte de débat. Merci